Nom : Langley
Prénom :Benjamin (Arthur Galahad, dis l'Anglais)
Sexe : Masculin
Orientation : superstitieux
Caractéristiques physiques
Force : 2
Endurance : 2
Rapidité : 7
Agilité : 7
Esprit : 6
Charisme : 7
Les 5 compétences fortes :
Acrobatie - 7
Marchandage - 7
Confiance - 7
Commandement - 7
Seduction - 7
Les 10 compétences neutres :
Corps à corps -
Armes blanches - 2
Tir à l'arc/armes de jet - 4
Pistolets - 4
Fusils -
Plantes -
Orientation - 1
Escalade - 3
Natation -
Equitation - 1
Les 5 compétences faibles :
Pièges basiques -
Pièges sophistiqués -
Explosifs -
Pistage -
Premiers secours -
Compétences cartésien/superstitieux :
Superstitieux
Magie Blanche : 0
Magie Noire : 5
Magie Rouge : 5
Instruments religieux : 0
Equipement :
La tenue vestimentaire et autres objets décoratifs
Plusieurs mises très soignées, dans des tons bleu gris, même si il a quelques vêtements noirs, composé généralement de chemise, veste, gilet, pantalon et chapeau haut de forme allant de paire avec ses souliers vernis et sa canne, bref, l'attirail complet du riche bourgeois qui ne se vautre pas totalement dans le luxe. Un montre gousset héritée de son oncle Alfred, un jeu de tarot de Marseille donné par un de ses camarades marins, trois boites à cigares et autant de bouteilles de gin (ses réserves de survie).
Les 300$
Deux derringer 20$
Trois Colts 75$
Un ranger 35$
Un poignard 3$
20 couteaux de lancer (pour se la péter en clouant des cartes aux murs) 10$
Deux briquets (au cas où) 6$
Une protection en métal 60$
350 balles de pistolet 14$
(avoir la classe, ça n'a pas de prix, pour tout le reste, il y'a eurocard mastercard ^^ désolé, mais fallait que je la fasse)
87$ en poche
Signe(s) particulier(s)
Un accent britanno-français lorsqu'il parle l'une ou l'autre langue.
Histoire du personnage :
Benjamin Langley est né au Pays de Galles, à Cardiff, mais n'en a aucun souvenir. En effet, ses deux ans révolus, il partit avec sa famille s'installer ailleurs, plus précisément à Saint-Domingue, côté Français, langue qu'il pratiqua autant que l'anglais dans sa famille, lui donnant ainsi un accent des plus charmants, mélange entre l'accent français et britannique pure souche. Son père possédait de vastes plantation de canne à sucre ainsi que de nombreux esclaves. Benjamin de la famille comme son prénom l'indique, il n'avait pas trop à se soucier de la plantation, chose qui revenait à son aîné, Franklin, qui devait reprendre par la suite l'affaire familiale. De ce fait, le jeune Benjamin pût s'adonner à d'autres types d'activités: courir les jupons était la principale, observer les curieux rites des esclaves en était un autre, et traîner avec des personnes que d'aucun considèreraient comme "plutôt louches" et "peu fréquentables" (notamment des marins).
C'est avec ce derniers qu'il apprit quasiment tout ce qui lui servirait plus tard, le poker, le tarot, mais aussi les tours de passe-passe et les arnaques en tout genre, aiguisant plus sa langue que quoi que ce soit d'autre à cette période de sa vie, jusqu'à ses seize ans, où il décida d'embarquer sur le premier vaisseau en partance pour aller faire sa fortune ailleurs et surtout trouver d'autre filles à séduire. Evidemment, en tant que mousse, il affuta ses talents pour l'acrobatie entre le grand mât et le pont, plus pour sa propre survie lors des six tempêtes que le navire affronta que par un quelconque souci d'efficacité à dire vrai.
Il arriva donc à New Amsterdam où il dût bien apprendre à se débrouiller tout seul, maniant couteaux et pistolets lors de numéros de jonglage ou lorsque les ennuis arrivaient, et sa langue pour se faire rapidement suffisamment d'argent pour, partir à l'ouest, loin de la décadence de cette ville.
Dilapidant un bonne moitié de ses économies pour un barbier et des vêtements chics, il embobina une riche famille partie en quête d'aventure en se faisant passer pour... au final ce qu'il était, un fils de bonne famille qui a quitté la plantation de son père pour faire fortune ailleurs. C'est là qu'il décida d'aller de ville en ville, pour finalement arriver à Death Line City, en quête de nouveaux pig... euh... partenaires de poker potentiels à plum... oh et puis soyons honnêtes, à plumer, tout simplement. Il n'a d'ailleurs quasiment jamais besoin de tricher pour ça, sa chance naturelle l'aidant fortement, ses capacités de joueur n'étant plus à prouver, et quelques petites prières venant tout droit des esclaves dominicain de son père facilitant grandement ses victoires. Peut-être n'est-ce qu'une question de confiance, peut-être pas, en tout cas, ça marche et lui permet de boire son gin, fumer son cigare et séduire la gente féminine au frais de ses adversaires.
Voila comment est Benjamin: charmeur, sûr de lui, et très au fait de ce qu'il peut faire avec sa langue seule, dans tous les sens du terme, bien que ses mains ne soient pas en reste pour les rares tours de passe-passe qu'il doive effectuer, en particulier pour avoir sa quinte flush royale. Confiant, direct, classieux sans jamais être hautain, il se considère lui-même comme un gentleman et un homme de goût, qui, accessoirement, est doué aux cartes.